2010
 

“Bagnols sur cèze. DANSE IMPROVISÉE POUR LES MERCREDIS GUINGUETTE

C’est une troupe comme on en voit peu, qui s’est produite dans les rues de Bagnols, à l’occasion des Mercredis guinguette. Des enfants, des adolescents et des adultes ensemble s’adonnant aux joies de la danse improvisée sur le thème de Venise à la plus grande surprise des passants. Créa’Danse c’est le nom de cette compagnie lyonnaise composée d’une dizaine de danseurs contemporains. Avec une quinzaine de créations à son actif, la jeune troupe s’est déjà produite en Allemagne, Russie, Roumanie, Slovénie, Croatie, Pays-Bas et dans plusieurs villes de France (Marseille, Lyon, Paris, Romans, Grenoble, Carmaux, Tarare et sa région). Elle multiplie les expériences en donnant des spectacles dans des lieux inhabituels tels que l’aéroport de Frankfort, la Place Rouge à Moscou, le pont d’un bateau, le parvis d’une église, un pré, un bureau de Midi Libre …”

MIDI LIBRE Édition du vendredi 6 août 2010


“Un ballet sous le signe de l’Europe.
Vendredi soir au théâtre, le public était convié à un anniversaire un peu particulier. En effet, pour célébrer le tricentenaire de la naissance de George-Antoine Simonet, père de la mousseline tararienne, Créa’Danse proposait une représentation unique d’un ballet d’André CAmpra, “les fêtes vénitiennes”, créé à l’origine il y a trois siècles. (…) Le public put suivre à travers plusieurs tableaux les aventures d’un jeune garçon de neuf ans qui, pour pouvoir accéder à un bal costumé, se grime en homme (…). Les danseurs ont pour l’occasion pris possession non seulemetn de la scène, mais également du reste de la salle, s’invitant notamment au milieu du public pour une partie de cache-cache mémorable. La troupe de cette unique représentation était composée des danseuses de Claire Gattet (…) de danseurs allemands d’Herrenberg et d’une troupe de danseurs slovènes de la ville de Brezice. Travaillant dans un premire temps les chorégraphies chacun de leur côté, la rencontre n’a eu lieu…que cinq jours avant le spectacle ! A les voir évoluer ensemble, on aurait pourtant juré que tous se connaissaient depuis longtemps. Tout le monde se retrouva sur scène pour un salut chaleureux sous les applaudissements (…)”

Le Pays


“Une machine de 15 mètres de long, dans un atelier austère, s’est mise à vivre sous les pas des danseuses de Créa’Danse. C’était le premier spectacle vivant du parcours sur la mémoire textile donné dans les locaux de l’entreprise de broderies mécaniques Girardet. Elles ont dansé sur différents thèmes inhérents à la machine: le bruit, les mouvements tantôt répétitifs tantôt coordonnés. Parties du mécanisme de la machine, elles se sont rapprochées de l’humain en mimant l’effort à fournir, l’ambiance des ateliers sur une bande-son réalisée par Olivier Paraire. Le Concert Impromptu les a accompagnées musicalement en alternace avec le son des machines et surtout les témoignages ouvriers enregistrés par Francis Mainard (…) Le public nombreux a apprécié ce divertissement inattendu en cet endroit.”
Le Progrès


“Le jardin de la halle a été investi (…) par cinq musiciens et six danseuses, qui ont interprété un court spectacle en plein air. La représentation a été créée par la chorégraphe Claire Gattet et les musiciens du Concert Impromptu (…). Les artistes se sont inspirés des témoignages des ouvrières et ouvriers de l’industrie textile, recueillis dans le cadre du parcours “mémoire textile”, pour créer leur composition. Un musicien et une danseuse formaient ainsi des duos répartis dans divers coins du jardin, alors que le public était tranquillement installé autour des tables de la terrasse (…). C’est ainsi une fresque originale qui a été peinte, dans un lien de proximité avec les spectacteurs. (…). Du vrai spectacle vivant.”
Le Progrès


2009


2008
“Ce bijou du 7ème art (“4 minutes” film de Chris Kraus), a donné suite à une chorégraphie contemporaine effectuée par la compagnie Créa’Danse. Ces jeunes danseurs de Claire Gattet se sont appropriés l’avant-scène de la salle de cinéma en accomplissant une vraie prouesse artistique – entre autres, de part l’inclinaison prononcée de la scène – et scénique en faisnat corps avec le lieu et le film en symbiose pargfaite. les cinéphiles en sont sortis groggy, encore boulversés par le film ou apaisés par Créa’Danse.”
Le Progrès


2005
“Avant la réception qui réunissait tout le monde, ….., une surprise aura été offerte  par Claire Gattet: une chorégraphie inspirée de la musique du film (“Dogora” de Patrice Leconte), pas une surprise, un cadeau superbe et généreux qui a merveilleusement conclu la soirée…”
Le Progrès


Lettres à la compagnie

2009
“Evoluer sur des poèmes …, chaque geste collant au texte, chaque mot capté, ressenti, relancé à travers les corps, avec rigueur et sensibilité. Osmose entre deux modes d’expression où l’un devient l’autre parfaitement. Cette expérience enrichissante était aussi un vibrant hommage rendu à la femme quelle qu’elle soit, sous toutes les latitudes, dans des textes engagés, violents parfois, servis par une voix tour à tour chaude, sensuelle et tragique.”

Simone Durand


2006
“La fin, lorsque tous les duos interprètent les mêmes mouvements où l’on retrouve un peu de tout, le spectacle m’a suggéré que les artistes faisaient avancer le monde en apportant une pierre à l’édifice de la culture de demain et que chacun nourrit de son art l’acquis des générations futures. En tout cas, tu nous as offert les plus beaux tableaux de l’exposition”
Denis Béroudon


2005
“…Ému de voir ces visages et ces corps, dont je me souvenais, danser, bouger, occuper l’espace, sur les musiques dogoriennes d’Étienne Perruchon.”
Patrice Leconte